Un-petit-morceau-de-vie

Chroniques d'une jeune fille

Vendredi 13 avril 2012 à 21:10

http://un-petit-morceau-de-vie.cowblog.fr/images/jeunefillequimarche.jpg

Alors voilà, moi C'est Alexandra, ça fait presque deux ans que je suis avec un homme vraiment parfait, pour qui je serais prête à donner ma vie, et tout ce que je possède. Son prénom c'est Enzo et depuis tout ce temps il n'a jamais fait coulé une seule larme de mes yeux, c'est fort hein ! Et oui 2 ans de bonheur parfait, mais voila comment dire tout ne se passe pas toujours comme prévue, alors je vais faire un retour en arrière et commencer par le commencement.

Le lycée était désert, c'était pas un jour comme les autre il pleuvait et javais cassé un talon en glissant dans un couloir, mes chaussures à la main j'avais traversé un batiment afin de regagner la sortie. En face du lycée un petit magasin de ballerines, bon c'est mieux que rien ça m'avait dépanné quand même parce que rentré en chaussette chez moi, le bus le métro, les gens et tout, pas trop pour moi !
Donc cette journée qui avait si mal débuté, commencait à s'arranger légèrement.
J'était en train de remonterle grand boulevard, quand j'ai vu un jeune homme traverser en courant et se faire percuter par une voiture.
MERDE, qu'est ce que je devais faire ? Je me devais en tant que témoin de l'accident d'aller voir et aider la victime.
je m'avancait en courrant, et c'était, :O c'était ce garçon du lycée que j'avais croisée quelques fois plutot charmant qui me souriait à chaques fois !
Enzo, c'était ça son nom, merde mais pourquoi il avait tarversé juste là ?
Arivée à sa hauteur, je me suis agenouiller et j'ai dégrafé son polo our voir l'ampleur des dégats, il saignait de partout, son corps gissait là et j'étais perdu je en savais que faire, je me sentais impuissante, les pompiers sont arrivés et je suis montée dans l'ambulance qui les suivait avec lui. Mon dieu, un garçon que je connaissais à peine venait de se faire écraser et j'étais plus qu'atteinte !
J'ai attendu 5h à l'hopital pour avoir de ses nouvelles qui se sont avérées assez bonne, il avait reçu un terrible choc, mais il n'était pas dans le comas.
Je suis allée dans sa chambre il m'a regardé entrer comme si j'étais une inconnu, enfin je l'étais plus ou moins pour ainsi dire, mais il n'avait pas l'air de me reconnaitre.

Moi : Enzo ?
Enzo : Alexndra...
Moi : Tu.. Tu sais qui je suis ?
Enzo : Oui, et je crois que j'ai bien fait de me faire renverser !
Moi : Arrête de dire des bétises, j'ai vu dans l'état que tu étais tout à l'heure, j'ai faillit m'en évanouir, tu m'as fait très peur, tu sais je te connais à peine, voir presque pas, je sais que tu t'appelles Enzo, que t'habites 3 rue derrière chez moi, que t'es en première, mais c'est tout, et quand je t'ai vu là par terre, quand j'ai vu ton corps au sol.. j'aurais voulu mourir plutot que tu souffres ! T'imagines je t'ai vu là, tu ne bougeais plus, t'étais rien pour moi et j'aurais voulu creuver pour toi !
Enzo : Quand je t'ai vu t'approcher de moi, j'ai su que t'allais faire ce qu'il fallait, j'ai laisser mon esprit partir quelques instants, je savais mon corps en sécurité.
Moi : Enzo.. Enzo, pourquoi t'as traversé en courant comme ça ? T'avais vu quelqu'un en face ? pourquoi cette personne n'est pas venu auprès de toi ? 
Enzo : J'avais rendez-vous à la banque, et j'étais déjà en retard, elle allait fermé.
Moi : Je vais me répéter, on se connait à peine mais je veux que tu me promettes de faire attention à toi, je crois que je souffre de te voir souffrir.
Enzo : Mais je ne souffre pas..

Il leva son bras pour me montrer qu'il pouvait bouger sans aucun problème, et j'au vu sous son bras une déchirure recousu sur une bonne vingtaine de centimètre, il avait fait une grimace de douleur et j'avais compris que malgré tout il ne me montrerait pas qu'il avait mal.

Moi : Enzo, je vais te laisser, tu as besoin de repos, mais dis moi pourquoi tes parents ne sont pas là ? Tu les a prevenu au mois ? 
Enzo : Mes parents ? Mon père est parti quand j'avais 7 ans, et ma mère.. ma mère elle passe ses nuits chez des types différents à chaque fois, elle change toutes les semaines, et moi comme je rentre que le soir, je la voit jamais, il m'arrive de la croiser mais franchelent c'est rare, j'arrive à vivre comme ça, ça m'a pris du temps mais je m'y suis habitué, alors tu vois si elle s'en va comme ça qu'elle me laisse, à mon avis mon état de santé elle en a rien a foutre !
Moi : Dis pas ça, une mère s'inquiète toujours pour son enfant, tu te dois de la prévenir.
Enzo : Oui, ça va je le ferai.
Moi : Non, maintenant fais le maintenant, c'est important.

Je l'ai vu prendre son téléphone essayer de joindre sa mère à plusieurs reprise, mais elle n'a pas répondu, j'ai vu son regard plein de tristesse de désespoir, il avait tenté comme pour lui offrir une dernière chance de se rattraper, de pouvoir être présent auprès de lui, et elle avait échoué.

Moi : Bon je vais te laisser.
Enzo : C'est la deuxième fois que tu dis ça, princesse, écoute moi avant de partir. T'es la seule présence que j'ai depuis tout à l'heure et à dire vrai j'aime beaucoup que tu sois là ! Merci de t'être ocupée de moi, d'avoir appellé les pompiers de m'avoir accompagner, ils m'ont dis ça les médecins d'ici.
Moi : Oui, mais je n'ai fait que ce qui me semblait évident, je me sentais impuissante, j'avais l'impression que c'était un cauchemard que ça allait s'arrêter que ça ne pouvait pas exister en  vrai.
Enzo : Princesse, viens par là..

Je me suis approchée de lui sans un mot et..

(La suite DEMAIN)

Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Ajouter un avis sur la chronique

Note : Un-petit-morceau-de-vie n'accepte que les commentaires des personnes possédant un compte sur Cowblog : vous devez obligatoirement être identifié pour poster un commentaire.









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://un-petit-morceau-de-vie.cowblog.fr/trackback/3179279

 

<< Avant ceci | 1 | 2 | Après cela >>

Créer un podcast